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Une récente étude des notaires de l’Île-de-France indique que la tendance s’est inversée du côté de l’achat immobilier dans la capitale. Les acquéreurs préfèrent se loger dans le centre au détriment de l’ouest, contrairement aux années 1990, où une vente sur trois se concrétisait dans le XVIe arrondissement. La proportion concernant l’achat d’appartements de luxe s’estime désormais à une sur dix dans cette région. Selon les notaires, c’est la proximité des services qui auraient poussé les propriétaires à acquérir dans les centres-villes.

Le 16e arrondissement ne séduit plus les acheteurs

Après les zones A bis, A et B, la zone C sera également concernée par le dispositif Pinel. Cette extension a été rendue possible grâce à un récent amendement fait à la Loi de Finances. Pour rappel, c’est une réduction d’impôt qui attend les propriétaires de ces régions s’ils construisent ou font l’acquisition d’un logement et le mettent en location. Il est bon de savoir que cet avantage fiscal prend effet quand le bien immobilier est loué durant l’année suivant la date d’achat.

La zone C bénéficiera du dispositif Pinel

La réussite d’une vente immobilière passe aussi par la qualité des photos à être utilisées dans la petite annonce ! Le choix de l’image principale est important, car c’est bien cette dernière qui apparaîtra sur les moteurs de recherche et en grand dans la publication. Pour attirer les futurs occupants, les atouts du bien immobilier peuvent être mis en avant dans les clichés. Les photos prises de nuit sont à proscrire et l’éclairage doit être soigné pour déclencher le coup de cœur chez tout éventuel locataire ou propriétaire. Avoir un bon angle de vue permet également de faire des clichés qui permettent de se faire une meilleure représentation de la pièce.

Les photos de qualité suscite l'intérêt

Un récent bilan d’Immostat sur l’immobilier d’entreprise en Île-de-France a fait ressortir que les bureaux avaient la cote en 2016. Ce type de bien a connu une hausse de 7 %. Ce sont près de 2 410 400 m2 qui ont fait l’objet de demande sur la période. Le prix de vente des bureaux a également grimpé de 2 % sur un an. Toutefois, l’investissement de son côté n’a pas connu le même sort. Toujours selon Immostat, au dernier trimestre de l’année écoulée, c’est un recul de 19 % – en comparaison à 2015 – qui avait été noté.

Les bureaux ont eu la cote en 2016

À Paris, l’investissement locatif a affiché une certaine progression en 2016. La transaction immobilière représentait même 25,7 % de l’activité à cette période. Il faut dire que le secteur en a bien profité, car le nombre de ventes a également accusé une remontée notable, calculée à hauteur de 15,8 %. Cette hausse a eu pour effet de réduire le délai de vente, qui est passé à 67 jours pour la deuxième année consécutive. Cependant, notons que les prix ont été sujets à une augmentation, + 4,9 % sur un an.

L'investissement locatif était en hausse en 2016

Les Français ont dû débourser quatre euros de plus sur leur loyer en 2016, en comparaison à l’année précédente. En effet, le montant moyen, charges comprises, est passé à 628 euros, contre 624 euros en 2015. Cependant, la surface a quant à elle diminué. Cette somme représente une location en appartement de 42 m², soit un recul de 5 m² sur un an. Pour ce qui est des types de logements les plus loués, les T2 (27 %) ont été privilégiés aux studios (26 %). Les appartements T3 représentaient quant à eux 17 % des locations en 2016.

En 2016, le loyer a connu une hausse

Une certaine évolution a été notée dans le prix de l’immobilier ces cinq dernières années. Elle a concerné huit des onze plus grandes villes de France. Les montants que les Français ont déboursés pour l’achat d’un logement ont augmenté dans ces différentes régions et 2016 n’a pas échappé à la règle.

En effet, les professionnels du secteur ont indiqué dans un récent baromètre que cette fin d’année a vu une forte progression des prix du logement. Les onze grandes villes de l’Hexagone ont été concernées. Par exemple, Lyon a affiché une remontée de 6,6 %, +4,6 % a été enregistré pour Paris et les sommes ont crû de 5 % à Bordeaux.

Les prix devraient être stables en 2017

Il est bon de savoir que c’est le recul des pourcentages d’emprunt qui a agi de levier dans la progression des prix en 2016. Par contre, 2017 devrait quant à elle être placée sous signe de la stabilité, selon les professionnels. La hausse des taux de crédit ne sera pas étrangère à la situation.

Pour revenir à l’année écoulée, soulignons qu’une chute de 1 % des taux a eu pour effet de faire grimper de 10 % le pouvoir d’achat des Français. Il était possible d’emprunter 207 000 euros pour une mensualité de 1 000 euros l’an dernier, alors qu’avec ce même montant, le financement auquel l’on pouvait prétendre en 2014 était de 165 000 euros.

Avec la remontée des indices, les demandes ne seront plus portées par les conditions du prêt immobilier. À noter également que les nouvelles requêtes n’ont pas connu de boom l’année dernière. L’Indice de Tension Immobilière (ITI), qui est passé de 3,2 acheteurs pour un bien mis en vente à 1,2 en 2016, en est la preuve !

Il n’est pas rare de rencontrer un cas où un agent immobilier ou même un particulier ne précise pas le quartier dans une annonce immobilière postée. Cette astuce aide à mettre en avant un bien, même si ce dernier ne se trouve pas dans une région plébiscité par les potentiels acquéreurs. Comme la localisation est un critère très prisé, cela permet de mettre toutes les chances de son côté. Ce genre de manœuvre est utilisé dans le cas où le propriétaire considère que son bien mérite une visite, mais il est toujours possible de l’appeler pour connaître l’adresse exacte de son logement.

Les acheteurs font attention à la localisation dans les annonces

Les logements anciens ont eu la cote en 2016. Un nouveau record pourrait même être atteint concernant le volume de biens mis en vente sur ce marché. L’on compterait près de 840 000 maisons et appartements vendus sur l’année. Les villes affichant une hausse des ventes sont, entre autres, Paris avec +15 % et Lyon avec +19 %. Notons également que cette tendance haussière dans le volume de transactions est attribuée au niveau des taux d’intérêt, qui ont été très bas sur toute l’année 2016.

Le nombre de ventes progresse sur le marché ancien

En Île-de-France, l’année 2016 s’est clôturée par la stabilité du côté du crédit immobilier. Alors que la hausse est de retour sur ce marché, le mois de décembre n’a été témoin que de légères remontées, de l’ordre de 5 points de base (seules certaines durées ont été touchées) ! Un emprunteur à l’excellent dossier pouvait prétendre à un taux moyen de 1,40 % sur 20 ans. Les banques affichent cette tendance en région francilienne, car elles auraient atteint leurs objectifs annuels. Une certaine baisse a même été notée du côté des mensualités en comparaison à 2015. Le montant est passé de 1035 euros à 955 euros par mois, en 2016.

Les taux de crédit étaient stables en décembre